Par Henri Matisse

Henri, merci pour ce tableau qui a immédiatement capté mon attention. Rien à dire de plus, sinon que je me pose la question suivante: Cette jeune femme au regard doux et serein, est elle croyante ou a t'elle simplement la connaissance ? 

Je laisse à chacun le soin de chercher la réponse, dans les sites "Aux chercheurs de vérité", tout particulièrement dans les oeuvres que Samaël nous a légué gratuitement. Quand à moi, je reprends ma propre quête de Vérité.

Merci également à Stéphen du site http://www.eternels-eclairs.fr dont est issue cette image. Empressez vous d'aller y admirer les chefs d'oeuvre de la peinture, les grands artistes ont tant de choses à nous apprendre.

 Je sors de l'obscurité pour un temps, pour reprendre le cours de mes réflexions et ma propre quête de vérité. Pour les quelques passants égarés sur ce site, voici ce que la Providence m'a apporté récemment, via l'intermédiaire du site  http://resistanceauthentique.com/, que je remercie du fonds du coeur au passage.

 Il m'a déjà été fait beaucoup de cadeaux en cette année 2014, en voici un que je ne peux garder pour moi, car il explique grâce aux travaux d'un scientifique contemporain, pourquoi nous sommes ce que nous pensons. Je pense, donc je suis. Je suis ce que je pense ....

 Là où la science, la physique quantique, et la spiritualité se rejoignent .....

source http://resistanceauthentique.com/ces-verites-que-lon-cache/

source http://resistanceauthentique.com/jean-pierre-garnier-malet-le-dedoublement-du-temps/ 

Mais que dit au juste Wikipédia de cette locution latine ?

Cogito, ergo sum (Je pense, donc je suis)1 est une formule latine forgée par le philosophe René Descartes. Elle exprime la première certitude qui résiste à un doute méthodique. Cherchant à refonder entièrement la connaissance, Descartes souhaite lui trouver un fondement solide, absolument certain. Cette recherche l'amène à la conclusion que seule sa propre existence, en tant que « chose qui pense », est certaine au départ. C'est cette découverte qu'exprime le « cogito ».

D'abord employée en français dans le Discours de la méthode (1637), la formule connaît plusieurs variantes dans l’œuvre de Descartes. En 1641, les Méditations métaphysiques réaffirment le cogito en latin sous une nouvelle forme : ego sum, ego existo (« je suis, j'existe »). Ce n'est qu'en 1644, dans les Principes de la philosophie, que la formule « cogito ergo sum » est publiée directement en latin par son auteur.

Indépendamment des formulations, le cogito constitue un élément majeur de la pensée cartésienne. Il est une certitude à partir de laquelle Descartes va tenter de refonder toute la connaissance. Il consiste en une intuition qui ne se résume pas à une déduction logique. L'expression est pensée comme "Je suis en tant je pense" sans "donc" car ce ne fut pas le fruit d'un raisonnement mais d'une réflexion^{[réf. nécessaire]}.

Dans le jargon philosophique, l'expression est fréquemment raccourcie et substantivée. On parle simplement du cogito, pour exprimer l'intuition acquise par le sujet grâce sa conscience de lui-mêmen 1. Le cogito est alors pris comme une découverte qui n'est plus toujours liée à Descartes lui-même. On parle ainsi de cogito augustinien, avant Descartes, ou de cogito husserlien, après lui.

Alors quoi ?

Un scientifique moins contemporain, René Descartes, nous disait déjà la même chose alors que la physique quantique n'était pas née.... intuition, doute, foi raisonnable, méditation, métaphysique sont les bases de son oeuvre.

Alors pourquoi donnons nous aujourd'hui, il me semble, une mauvaise définition au concept "esprit cartésien" ?

Je vous laisse à vos réflexions, tandis que je reprends les miennes. 

Gloire à René Descartes, Jean Pierre Garnier Malet, et à l'équipe de Résistance authentique.