... avec au programme ce soir un film pour réveiller les hibernatus ... sous l'emprise des magiciens de la matrice ...

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Nous nous rappelons avoir un jour entendu le Rav Dynovisz enseigner qu'entre la mort מת et la vérité אמת, il n'y a qu'une seule lettre de différence, c'est la lettre 

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Nous nous sommes rappelés de cet enseignement et nous avons pris une nouvelle gifle lorsque cet enseignement apparait dans ce film que le Rédac Chef nous a demandé de regarder 

Au cours du film, une femme vient ajouter la lettre ALEPH au mot MORT, pour nous signifier que c'est une femme qui peut ramener ce monde de morts qui enterrent les morts vers sa Source, sa Vérité, son Unité. Cette Femme est combattue par le minotaure qui essaie de la tuer pour que l'humanité ne puisse sortir du labyrinthe

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Oui, les mondes parallèles existent, il y a ceux d'en bas, ceux auxquels nous sommes inféodés aujourd'hui par la seule volonté de quelques âmes malades ...

Oui, Jean Louis est un grand malade ... il ne sait plus quoi faire, sinon se faire photographier en une de l'Express avec sa Marianne rouge sang .... c'est vraiment petit

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.... et il y a les mondes parallèles d'en haut (la Source) auxquels seule une femme - comme Sarah - peut nous permettre de nous y reconnecter ...

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En Vérité, cette Femme est déjà de retour dans notre monde.

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Seules les femmes peuvent ouvrir des portails dans l'Univers, et ce que ne vous dit pas explicitement le film, c'est par la Sexualité qu'ils sont ouverts (Un Homme + Une Femme)

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Deuxième film de la soirée, il était beau, il était séduisant le navire Babylonia .... qui coula il y a 108 ans, au mois de Nissan 5672 ...

C'est pourquoi cela secoue un peu dans ce monde illusoire crée par les magiciens noirs des loges maçonniques .... il semble que quelque chose leur a échappé et que leur magie n'opère plus ... deux amoureux qui essaient de se retrouver, et qui luttent contre les énergies contraires, font couler le navire ....

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Retombez Amoureux, revenez à la Sexualité Sacrée. Il n'y a pas d'autre voie pour sortir indemne du naufrage et de la profonde transformation de l'Univers qui s'en vient

La Rédac